Une génération en mal de liberté

Série: Une génération en mal de vivre

Une série de messages d'évangélisation sur le sujet: "une génération en mal de vivre" donnés ŕ Tavanes (Suisse) en 1982.

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Texte

'Une génération en mal (5) de liberté

Tavanes (Suisse) avril 1982

Bonsoir ŕ tous ! Nous sommes trčs heureux de vous accueillir dans ce lieu.

Évangile de Luc chapitre 4 des versets 16 ŕ 20 :

Jésus se rendit ŕ Nazareth oů Il avait été élevé selon sa coutume. Il entra dans la synagogue le jour du sabbat. Il se leva pour faire la lecture, et on Lui remit le livre du prophčte Ésaďe. L'ayant déroulé, Il trouva l'endroit oů il était écrit : L'Esprit du Seigneur est sur moi parce qu'Il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur. Ensuite, Il roula le livre, le remit au serviteur, et s'assit. Tous ceux qui se trouvaient dans la synagogue avaient les regards fixés sur Lui.

Dieu fasse que nos regards aussi se fixent sur Lui ce soir et que sa Parole nous soit une parole de délivrance et de libération.

Ce soir nous traitons du sujet : Une génération en mal de liberté.

Au texte lu précédemment nous en ajouterons un autre se situant dans l'épître aux Galates chapitre 5 : C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. Nous poursuivons au verset 13 : Frčres, vous avez été appelés ŕ la liberté ; seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair, mais rendez vous, par l'amour, serviteurs les uns des autres. Car toute la loi est accomplie dans une seule parole, celle-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-męme. Mais si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde que vous ne soyez détruits les uns par les autres.

Il semble que la liberté soit aujourd'hui au cœur de nos revendications. Des individus, des peuples entiers tentent de secouer tous leurs jougs. Des slogans fleurissent tels que "paix, amour, liberté", "ni Dieu, ni maître", "ni patron, ni état", "il est interdit d'interdire"… Il semble que de tels slogans sont constamment jetés en pâture ŕ notre jeunesse pour la conduire ŕ la révolte. Un vent de liberté, un vent de libéralisation souffle sur notre plančte. On veut ętre et vivre libre męme s'il fallait user de la violence pour y parvenir et aujourd'hui, nous nous sentons ŕ ce point esclaves que nous sommes pręts ŕ tout casser pour nous rendre libres. Nous nous souvenons d'une certaine Madame Roland du temps de la Révolution Française dans les années 1790 : tandis qu'elle était lŕ, montée sur l'échafaud pour ętre guillotinée, elle s'était écriée : " Liberté, liberté, que de crimes on commet en ton nom ! "

Seulement voilŕ, ce vent de liberté n'est, la plupart du temps, qu'un vent de licence et de permissivité qui n'a rien ŕ faire avec la vraie liberté. Ainsi voulons-nous aujourd'hui l'amour libre, le sexe libre, nous voulons l'avortement libre… Savez-vous que dans la seule ville de Washington on a enregistré en une année bien plus d'avortements que de naissances ? L'avortement libre, nous voulons la drogue libre, nous voulons les mœurs libres d'une façon générale, nous voulons tout libérer. En France, nous avons commencé de libéraliser nos mœurs sérieusement et ainsi nous avons libéralisé le livre et cette libéralisation du livre a infesté nos kiosques d'une littérature cochonne qui nous fait tant de mal. Voila le résultat de la libération du livre. Nous avons libéré nos loyers, nous en sommes męme arrivés ŕ libérer le bifteck (depuis qu'il est libre, il devient de plus en plus inaccessible  et nous n'avons jamais mangé autant de vache enragée !). On veut tout libérer, absolument tout, on veut libérer le travail et travailler quand cela nous chante. On a voulu aussi libérer la musique ; quelle cacophonie ! Et nous pourrions continuer ainsi. Mais quand tout est libéré, c'est l'homme qui se trouve esclave.

Tout prčs de chez nous, ŕ Corbeil, nous avons un zoo assez particulier en ce sens que les animaux s'y trouvent en liberté tandis que les hommes s'y trouvent en cage. Je ne sais pas s'il vous est arrivé de visiter le zoo de Saint-Vrain ou de Thoiry, les hommes y sont en cage et les fauves en liberté. En entrant dans ces zoos avec la voiture, toutes sortes de recommandations nous sont données bien sűr, surtout dans l'espace oů évoluent les fauves. Il nous est par exemple interdit de descendre pour vérifier nos pneus, les fauves sont lŕ, autour de la voiture alors que, pour ce qui nous concerne, nous restons enfermés dans nos voitures jusqu'au terme de l'itinéraire indiqué. Ces zoos m'ont fait comprendre ce qu'il peut arriver chez l'homme qui veut libérer ses instincts.

Nos instincts sont comme des fauves en nous et lorsque nous les libérons, ils nous tiennent, ils nous possčdent, ils nous enferment, ils nous emprisonnent. Et puis, il semble que nous ne sachions pas de quoi nous parlons lorsque nous parlons de liberté.

Qu'est-ce que la liberté ? Liberté, anarchie, licence, libertinage, indépendance, tout est dans le męme sac et on ne fait plus la différence. Vladimir Lénine qui a été l'un des auteurs de la Révolution russe a écrit : " Tant que l'État existe, il n'y aura pas de liberté et quand la liberté rčgnera, il n'y aura plus d'État. " La liberté peut-elle se concevoir de cette maničre-lŕ ?

Ils prolifčrent ces marchands de liberté qui aujourd'hui, promettent la liberté quand ils sont eux-męmes esclaves de la corruption, comme l'exprime l'apôtre Pierre dans sa deuxičme lettre au chapitre 2 et au verset 19. Et puis, soyons réalistes, bien que la vie soit essentiellement faite de choix plus ou moins importants, il est en réalité bien des choses que nous n'avons pas choisies en venant ici-bas, dans lesquelles nous sommes entrés bon gré, mal gré et que nous vivons bon gré, mal gré, ŕ commencer par la naissance. Lequel d'entre nous a choisi de naître ? Nous n'avons pas choisi de naître, pourtant la naissance est une affaire bougrement importante, engageant toute une vie, toute une existence et on ne nous a pas consultés ! André Chénier le počte français des années 1700 s'en était révolté en ces termes : " Fumes-nous consultés en recevant la vie ? Qui de nous peut choisir son peuple, sa race ? Nos parents ŕ leur gré font un juif, un chrétien, un musulman."

Nous n'avons pas choisi de naître. Nous n'avons pas choisi de naître suisse, français ou autre, et il est certain que des millions d'enfants du tiers monde aujourd'hui auraient préféré naître suisses, américains, suédois, ŕ la rigueur français si le choix leur avait été donné. Ils n'ont pas choisi de naître, ils n'ont pas choisi leur race, ils n'ont pas choisi de vivre comme nous n'avons pas choisi de vivre, de naître. Nous n'avons pas non plus choisi la couleur de notre peau, et cela, c'est pour la vie. On a pour la vie la peau blanche, noire, rouge ou jaune. La Bible dit qu'un Éthiopien ne peut pas changer sa peau (Jérémie 13/23). Nous n'avons pas non plus choisi notre sexe. Nous n'avons qu'une existence sur cette terre et on ne nous a pas demandé de choisir notre sexe. Alors si vous ętes du sexe féminin, vous ne serez jamais homme et si vous ętes du sexe masculin, vous ne serez jamais femme. On ne nous a pas consultés.

Ceci me fait penser ŕ une jeune dame ŕ Montréal qui était venue vers moi pour me dire :

Moi j'en ai aprčs Dieu, je Lui en veux.

Pourquoi madame ?

Parce qu'Il a fait de moi une femme tandis que j'aurais fait un homme formidable !

Madame, restez calme, si vous n'avez pas pu choisir votre sexe, c'est que quelqu'un l'a choisi pour vous : Dieu, parce qu'Il a un plan pour vous, acceptez-vous telle que vous ętes et confiez-vous en Dieu pour le reste, Dieu ne se trompe pas.

Nous n'avons pas choisi notre caractčre. Comment le vôtre est-il ? Bon ? Mauvais ? N'est-il pas vrai que la plupart du temps nous avons bon caractčre et que si les choses ne vont pas, ce n'est pas notre faute mais celle de ceux qui nous entourent ? Ah ! si tous étaient comme nous ! Pour notre malheur précisément parce que nous sommes la plupart du temps aveuglés sur notre propre condition. Si vous voulez savoir quel est mon caractčre, il ne faut pas me le demander, demandez-le ŕ mes enfants, ŕ mon épouse. Et puis nous n'avons pas choisi notre religion, nous sommes catholiques parce que nos ancętres l'étaient, nous sommes protestants parce que nos ancętres l'étaient… Nous sommes musulmans parce que nos ancętres l'étaient, nous n'avons pas choisi notre religion la plupart du temps, nous avons hérité de croyances et de traditions auxquelles nous adhérons de maničre sentimentale ou intellectuelle sans chercher plus loin souvent. Et puis nous nous disons libres ! La mort pour finir, la mort qui, la plupart du temps se moque de savoir si nous la voulons en blanc, en noir ou en couleur…

Brigitte Bardot dans une de ses chansons indique qu’elle voudrait mourir en moto " les cheveux dans le vent ". Est-ce une belle mort de mourir en moto ? Pour nous qui avons vu des accidents de moto, c'est pourtant horrible ŕ voir !

Chacun, nous voudrions passer par une belle mort.

L’académicien français Marcel Achard a eu ces mots : " Il n'y a pas de belle mort, la mort est toujours laide ".

Il y a donc tout un déterminisme, il y a tout un destin qui fait que précisément notre liberté est trčs relative, nous sommes comme encadrés d'un destin incontournable. Nous n'avons pas choisi de naître, nous n'avons pas choisi notre race, nous n'avons pas choisi la couleur de notre peau, nous n'avons pas choisi notre sexe, et tout ceci fait que notre liberté, en définitive… mais il n'empęche que ce destin est souple, dans une certaine mesure, il autorise certains choix : aussi pouvons-nous choisir une carričre, un époux, une épouse. Il y a bien des choix que nous pouvons faire, mais ces choix peuvent faire de nous et de notre vie, une réussite ou un échec. Ces choix qui nous sont accordés par le destin peuvent nous conduire ŕ la catastrophe ou ŕ une vie réussie. Ces choix que nous pouvons encore faire nous rendent responsables et c'est lŕ une des grandes vérités bibliques : il n'y a pas de vraie liberté sans responsabilité. Or aujourd'hui nous vivons au sein d'une génération qui veut la liberté sans la responsabilité, d'oů précisément tout ce désordre que nous connaissons mais il n'est pas de liberté sans responsabilité. Nicoletta que j'ai eu l'occasion de citer au cours des soirées passées, ancienne prostituée passée ensuite ŕ la chanson, chante ceci : " J'ai eu des plaisirs d'occasion, mais quand arrive l'addition, il faut payer ! " L’humoriste Pierre Daninos écrit dans son livre Le trente-sixičme dessous  : " Tout ŕ coup, mon existence m'apparaît comme une immense addition ŕ payer. "

Qu'il est dommage de passer ŕ côté des plans de Dieu, des plans que Dieu a pour nous ! Il n'y a pas de liberté sans responsabilité, il n'y a pas non plus de vraie liberté sans amour ! Tu aimeras ton prochain comme toi-męme… vous avez été appelés ŕ la liberté, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre selon la chair. Pour vivre n'importe comment, et puis par amour, rendez vous serviteur les uns des autres. Il n'y a pas de véritable liberté sans responsabilité il n'y en a pas non plus sans amour.

Et parce qu'il n'y a pas de vraie liberté sans responsabilité et parce qu'il n'y en a pas non plus sans amour, un jour Dieu a donné aux hommes les lois de la liberté. Les lois de la liberté qui forment ce Décalogue que nous avons certainement appris lorsque nous étions enfants sur les bancs de l'école du dimanche ou lorsque nous étions jeunes. Dieu a donné un jour aux hommes les lois de la liberté et ces lois ne nous ont pas été données par Dieu pour nous empęcher de vivre mais pour nous aider ŕ vivre de la meilleure maničre, de la meilleure façon dont Dieu voudrait que nous vivions. Dieu nous a créés libres, la Bible le dit. Mais Dieu ne veut pas que nous vivions n'importe comment, car ętre libre n'est pas vivre n'importe comment ; vivre oui, a dit Dieu, mais pas n'importe comment. Voilŕ pourquoi ces lois de la liberté, non pas pour nous empęcher d'ętre libres, non pas pour nous empęcher de vivre mais simplement pour savoir comment user de cette liberté qu'Il nous donne. Mais ces ętres que nous sommes, trčs enclins ŕ la révolte dčs qu'il s'agit de loi ne veulent plus rien entendre, que nous soyons jeunes ou moins jeunes. Quand on nous parle simplement de loi, cela nous fait hérisser les cheveux sur la tęte, c'est la preuve que nous sommes en révolte. En nous donnant ces lois, c'est comme si Dieu nous avait dit : voici un code de vie destiné ŕ faire votre bonheur sur cette terre, voici un code de vie pour vous permettre de vivre cette liberté que Je vous accorde.

Pour mieux vous expliquer ce que représentent les lois de Dieu, ce Décalogue, venons-en quelques instants aux lois de la route. Il y a des lois de la route qui sont internationales et qui nous obligent ŕ rouler de telle ou telle façon. Sur la route, nous sommes tenus de mettre en pratique ce que nous avons appris lors des leçons de conduite. Vous ne pouvez imaginer un seul instant la route sans loi, sans code, c'est impensable ! Imaginons que ce soir, le gouvernement décide l'abolition totale et définitive du code de la route. En d'autres termes, au sortir de cette salle, vous pourriez en prenant votre voiture, rouler ŕ droite ou ŕ gauche ŕ loisir, rouler sur les trottoirs, entrer dans les grands magasins avec votre voiture, vous pourriez tout faire ! Brűler les feux rouges, plus de feux rouges ni de feux verts, ni de feux tout court, vous voilŕ libres sur la route. Franchement ! Vous oseriez prendre le volant de votre voiture tout ŕ l'heure ? En tout cas, en ce qui me concerne, je rentre ŕ pied, et encore, pas tout ŕ fait rassuré.

La route ne peut pas se passer de lois, la vie elle non plus ne peut se passer de lois et Dieu en nous donnant ces lois n'a pas cherché ŕ nous empęcher de vivre car ces lois ont été établies pour nous aider ŕ vivre, comme les lois de la route sont lŕ pour nous aider ŕ rouler ; les lois de la route ne sont pas destinées ŕ nous empęcher de rouler, elles sont lŕ pour notre bonheur sur la route. Les lois de Dieu nous ont été données pour notre bonheur dans cette vie. Voilŕ comment il faut comprendre les lois de Dieu et pas autrement.

Ne trouvez-vous pas étrange qu'aprčs l’avoir tiré et sorti d'un esclavage totalitaire, Dieu ait donné immédiatement aprčs des lois  au peuple d'Israël ? Aprčs l'avoir rendu libre de cet esclavage en Égypte, Dieu a donné des lois ŕ ce peuple parce que la liberté ne peut pas se passer de lois. La liberté sans loi, c'est ! Montesquieu, écrivain français qui a été magistrat, a déclaré : " La liberté c'est simplement le droit de faire ce que les lois permettent. " C'est cela la liberté. Et nous sommes libres quand nous entrons dans ces lois de Dieu pour les mettre en pratique. Ces lois étant appelées les lois de la liberté…

Essayons de voir quelques instants de quoi traitent ces lois. De qui Dieu parle-t-Il dans le Décalogue ? Pour commencer, Dieu parle de Lui-męme : Je suis l'Éternel ton Dieu qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, tu n'auras pas d'autres Dieu devant ma face (Exode 20/2). Dieu donc commence par parler de Lui-męme puis Il parle ensuite du travail, de la famille ensuite et pour finir, du prochain, de sorte que le Décalogue traite de toutes les choses de la vie. Mais en tęte de toutes ces choses, Dieu a parlé de Lui parce que, dans l'existence de tout homme, Dieu devrait occuper la premičre place. La Bible dit męme que violer ces lois, c'est précisément pécher. Pécher c'est violer les lois de la liberté, les lois de Dieu, le Décalogue. Pécher c'est donc perdre sa liberté. Je ne sais pas si nous l'avons saisi. Pécher c'est ne plus ętre libre, le péché remet constamment en question notre liberté parce que le péché viole les lois de la liberté. Il est drôle que, pour ce qui nous concerne la plupart du temps, nous voyons les choses tout autrement. C'est la preuve qu'il y a en nous quelque chose qui est dérangé. Pécher c'est donc violer les lois de Dieu, les lois de la liberté, pécher c'est avoir perdu la liberté. La Bible dit que tous ont péché, donc nous avons tous perdu notre liberté et nous saisissons alors, tout ŕ coup, le sens de la venue du Christ sur cette terre, affirmant en Jean 8/36 : Si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. Le Christ est venu nous rendre cette liberté que nous avons perdue ŕ cause de notre péché, Il est venu faire de nous des hommes libres, nous donnant la force d'accomplir la loi de Dieu en habitant en nous, en vivant en nous ; le Christ n'est jamais venu abolir la Loi, Il l'a dit Lui-męme, Il est venu pour accomplir cette Loi et montrer la vie, l'existence que Dieu attendait de chacun de nous. Il est venu nous dire comment Il attendait que nous vivions cette existence et nous sommes passés ŕ côté, complčtement ŕ côté.

Pécher c'est donc perdre sa liberté. Ne pensez pas qu'en péchant, vous vous rendez libre ! (Je m'adresse surtout aux jeunes.) Vous vous enfoncez davantage dans la boue et l'esclavage du péché… La liberté ne peut pas se passer des lois morales de Dieu comme d'ailleurs, au plan physique, nous ne pouvons pas nous passer de lois. Nous sommes entrés dans un monde physique régi par des lois et si nous tentions de nous soustraire ŕ ces lois physiques qui régissent ce monde physique, nous pourrions risquer de mourir. Il y a par exemple cette loi de la pesanteur ŕ laquelle personne n'échappe et qui veut que, si je lâche ce livre, il tombe, c'est une loi. Maintenant essayez de monter au plus haut étage d'un immeuble pour vous jeter en bas en criant : " Je suis libre " et vous verriez le résultat de votre liberté ! Il y a des lois physiques auxquelles nous ne pouvons pas nous soustraire sans risquer de mourir et parce que nous nous sommes soustraits aux lois de Dieu, en péchant, au plan spirituel, nous sommes déjŕ morts. Voilŕ pourquoi ces paroles de Jésus en Jean 5/24 : Celui qui écoute ma parole et qui croit Celui qui m'a envoyé, celui-lŕ a la vie éternelle et ne vient point en jugement, il est passé de la mort ŕ la vie. Le Christ est venu donc pour nous tirer d'affaire. Et de męme que nous ne pouvons pas nous passer des lois physiques qui régissent notre monde physique, nous ne pouvons pas nous passer sans risquer de mourir des lois morales qui régissent le monde et l'univers moral ; comme nous avons tous péché, nous avons tous violé ces lois, voilŕ pourquoi nous sommes tous morts devant Dieu au plan spirituel.

Ah ! le péché, c'est encore lui le trouble-fęte, depuis le premier soir nous en parlons. Le péché. Jésus a dit en Matthieu 15/19 : C'est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultčres, la corruption sexuelle, les meurtres, les vols, l'avarice, la méchanceté, l'orgueil, la folie etc. C'est du dedans de notre cœur que sortent toutes ces choses et Jésus a simplement voulu exprimer qu'en chacun de nous, qui que nous soyons, il existe dans nos profondeurs des forces énormes que rien ne peut mesurer, des forces qui ne peuvent ętre domptées, des forces que nous ne pouvons apprivoiser, des forces qui peut-ętre n'apparaissent pas couramment mais qui se saisissent d'un climat, d'une circonstance, qui se saisissent d'une ambiance, d'une atmosphčre, d'une occasion pour se libérer d'une maničre irrésistible, pour nous entraîner au mal et parfois męme au malheur. Il y a ces forces de corruption, d'esclavage et de péché en chaque homme, ces forces sont en vous comme elles sont en moi. C'est pour l'existence de ces forces que le Christ est venu voilŕ deux mille ans. Contre ces forces, ni la science, ni la philosophie, ni męme une bonne morale ou une bonne religion ne peuvent quelque chose. Ces forces sont en nous et ce sont des forces d'asservissement, des forces d'esclavage, c'est cela le péché. Que de fois par exemple il nous est arrivé de lever les bras au ciel en nous disant : " Moi je suis comme cela et pas autrement, je n'y peux rien ! " C'est simplement avouer la présence de ces forces en nous, plus fortes que nous et que nous ne pouvons pas détruire en nous.

Savez-vous que la Bible en parlant du péché parle de seigneurie du péché, d'empire du péché, du rčgne du péché ? Le péché n'est pas du tout ce que nous pensons souvent. La Bible parle du totalitarisme, de l'impérialisme du péché : Tous sont sous l'empire du péché. C'est ce qui fit que le Christ vint vers nous voilŕ deux mille ans pour nous tirer d'affaire, pour venir ŕ bout de ces forces d'esclavage qui nous tiennent. Il est venu briser nos chaînes, Il est venu pour nous rendre libres, voilŕ pourquoi le Christ nous a assuré : Si je vous affranchis, vous serez réellement libres. Et je rends le témoignage qu'Il m'a rendu libre, par la puissance de son sacrifice, par la puissance du calvaire, la puissance du sang versé ŕ la Croix.

L’homme de science Félix Le Dantec a écrit : " L'homme est une marionnette consciente qui a l'illusion de la liberté. " Nous n'avons que l'illusion de la liberté. Seul, le Christ nous rend véritablement libres mais pour beaucoup, nous nous savons dans toutes sortes de chaînes, de servitudes. Nous nous savons dans toute sorte d'habitudes qui nous ligotent quotidiennement, nous nous savons dans des passions qui nous font tant de mal, des passions cruelles, seulement ce que nous ne comprenons pas souvent c'est que nous en sommes arrivés, la plupart du temps, ŕ aimer ce qui nous tue. L'alcoolique, le drogué aiment ce qui les tue, ils ne peuvent pas s'en passer. Le monde entier désire la liberté, aspire ŕ la liberté et pourtant chacun est amoureux de ses chaînes.

Avons-nous perdu le sens ? Il me semble que oui. La vraie liberté est celle qui se définit par rapport ŕ ces forces d'esclavage et de corruption qui sont en nous. La vraie liberté consiste ŕ se dégager de ces forces. La vraie liberté consiste ŕ sortir de son péché par la puissance de Christ et de son sacrifice. Un homme libre, c'est un homme capable de vivre intérieurement, dans sa vie, la liberté de Christ, lequel a été le seul homme libre que la terre ait jamais porté. La Bible dit que la fin de notre esclavage c'est la mort, la perdition éternelle. Que d'hommes, souffrant, ŕ l'heure qu'il est, de chaînes pesantes et douloureuses, de chaînes qui les tuent.

Il y a peu de temps, je discutais ŕ Paris avec un chauffeur de taxi qui me disait :

Vous savez monsieur, ŕ cause du tiercé, j'ai le jeu dans la peau. J'ai dű vendre mon numéro de taxi, ma maison pour jouer. Je me suis ruiné mais je continue de jouer parce que je ne peux pas faire autrement. J'ai le jeu dans la peau. Quelle chaîne !

Mais la chaîne, ce peut ętre aussi ces petits verres que nous descendons quotidiennement derričre la cravate et qui font qu'un jour nous ne pouvons plus nous en passer alors que c'est tragique, l'alcoolisme, ce pourfendeur de foyer, de maison… Il y a peu de temps, dans un hôpital, un homme se mourait du cancer du poumon et avant de mourir, il a brandi une cigarette en disant : " Pendant trente ans, j'en ai usé, la cigarette est mon maître, c'est elle qui me tue mais je l'ai aimée. " Quelle chaîne, lŕ encore ! et tant d'autres choses. Nous pouvons ce soir peut-ętre, ętre esclave du sexe ! Si nous en avons un, certes, c'est Dieu qui l'a voulu mais pas pour l'usage que nous en faisons la plupart du temps. Aujourd'hui, quelle corruption au plan sexuel ! Jusqu'aux déviations sexuelles dont nous n'oserions pas parler ce soir. Nous sommes peut-ętre esclave du confort ? de la mode ? il y en a qui ne vivent que pour elle, la mode. Le sport ? le dimanche matin, au lieu d'aller au culte, on se retrouve sur un stade pour faire du sport. Il n'y a aucun mal ŕ en faire ! Seulement quand cela prend la place de Dieu, cela devient une chaîne et j'en parle en connaissance de cause parce que j'étais sportif, au point qu'un jour j'ai été sélectionné dans l'équipe junior de volley-ball en France. Lŕ, j'ai l'impression que je vous en bouche un coin ! Mais il ne m'en reste plus que les paroles, ne me provoquez pas sur un terrain, c'est du passé. Mais aprčs ma conversion, j'avais continué de jouer au volley-ball et je disputais des coupes, des matchs le dimanche matin et un jour Dieu m'a parlé. Alors je suis allé vers mon entraîneur pour lui dire : " A partir de ce jour, je ne fais plus partie de l'équipe. Je veux bien continuer l'entraînement, je veux bien me tenir en forme mais ne comptez plus sur moi pour les matchs du dimanche matin ". Le Seigneur m'en avait donné la force, ce fut trčs difficile mais quelle joie ensuite dans cette obéissance !

Tout ce qui, en nous, prend la place de Dieu, devient une idole, une chaîne, voilŕ pourquoi Dieu a parlé de Lui pour commencer les dix commandements, dans le Décalogue, parce qu'Il veut en toute chose occuper la premičre place.

Qu'est-ce qui a triomphé de nous ? La Bible dit que chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui. Ce soir, vous devez savoir ce qui a triomphé de vous. Ce peut ętre la voiture ? La voiture dont vous ne pouvez pas vous passer, vous l'aimez au point de ręver d'elle. Ce peut ętre la moto il y a certains jeunes qui ne vivent que pour elle, alors la moto prend la place de Dieu dans leur cœur et cela peut aller loin ainsi ! Il n'est pas interdit d'avoir une moto mais sitôt qu'elle prend la place de Dieu dans notre cœur, quel drame !

Dieu veut donc prendre, tenir chez nous, la premičre place et voilŕ pourquoi le Christ est venu.

L'argent, quelle puissance ! Lorsque les hommes et les femmes de notre génération sont questionnés de façon personnelle sur l'argent, ils nous donnent l'impression de ne pas l'aimer. Questionnez donc des amis autour de vous sur l'argent :

Monsieur, aimez-vous l'argent ?

Oh ! surtout pas.

C'est ce qui fait notre malheur mais aprčs quoi courons-nous ? Et comme argent, sexe et violence ont toujours fait bon ménage, nous ne nous étonnons plus du sičcle dans lequel nous vivons et de ses circonstances : quel tyran que l'argent ! Voilŕ un dieu assoiffé de sacrifices, qui rčgne sur nos soucis, nos tourments et que de temps, d'énergie, qui lui sont quotidiennement offerts en sacrifice, en offrande. Il ne laisse aucun répit ŕ ceux qui en ont fait leur dieu.

Nous pourrions continuer ainsi…

Le Christ est venu pour nous rendre libres.

C'est peut-ętre la drogue qui nous enchaîne ou bien une habitude cachée dont nous aurions honte en public et qui nous tient. C'est peut-ętre la chaîne du spiritisme et de l'occultisme qui nous tient. J'ai été effrayé d'entendre les chiffres concernant l'occultisme en France ŕ l'heure actuelle. Lors du dernier congrčs des magiciens, des sorciers et des spirites ŕ Paris, il a été précisé que quinze millions de français consultent réguličrement les astrologues. Et le chiffre d’affaires de la profession est de cinq milliards de nos francs actuels. J'ai envie de crier au gouvernement français : voilŕ de quoi combler le déficit de notre Sécurité sociale ŕ un milliard prčs !

C'est peut ętre la chaîne de l'occultisme, du spiritisme, de l'astrologie qui vous tient. Le Christ ce soir, veut briser cette chaîne. Vous avez envie de me dire :

" C'est pour jouer que l'on fait tourner des tables, c'est pour jouer qu'on lit les lignes de la main, c'est pour jouer que l'on consulte l'horoscope. "

Sur l'île de Borkum en Mer du Nord, par un bel aprčs-midi de printemps, trois hommes se promenaient ŕ marée basse, quand leur regard fut arręté par une chaîne, un câble téléphonique transatlantique maintenu au sol par de lourdes chaînes. Ils regardčrent cette chaîne quand tout ŕ coup une idée leur vint : " Si nous essayions notre force ŕ tour de rôle sur ce câble pour voir lequel d'entre nous trois le lčverait le plus haut, avec les pieds, en étant couché sur le sable ? " Sitôt dit, sitôt fait, ils essayčrent leur force de cette maničre-lŕ, quand tout ŕ coup on entendit un cri… le pied de l'un de ces hommes était passé dans un maillon de cette chaîne de façon trčs brutale. C'est un peu l'histoire de la bague qui vous prend un doigt pour refuser de vous le rendre ensuite. Ce pied restait prisonnier, les deux amis mirent ensemble leur génie pour tenter de délivrer le troisičme, rien ŕ faire, la chaîne tenait bon, elle tenait bon, toujours, tandis qu'au loin, commençait d'arriver la mer. Ils furent pris de panique, autant celui que la chaîne tenait que les deux autres ! Que faire, aller chercher du secours ? Plus le temps et pour finir, les vagues étaient lŕ, comme se moquant du drame qui se jouait et ce qui était jeu pour commencer, avait tourné au drame.

C'est pour jouer ! Comme on peut jouer avec l'astrologie, le spiritisme, les sciences occultes. Comme on peut jouer avec quelques petits verres d'alcool, comme on peut jouer avec la drogue, puis un jour c'est le pied dans la chaîne et quand le pied est dans la chaîne alors les vagues du désespoir surviennent.

Que d'hommes, de femmes ont un pied dans la chaîne ! Vous avez peut-ętre un pied dans une chaîne ? Mais quelle nouvelle, et c'est ma joie de vous l'annoncer, Christ a brisé nos chaînes, Il est venu mourir sur la Croix et en mourant sur cette Croix, Il s'est employé ŕ briser nos chaînes, ŕ briser les forces du mal et de la corruption, Lui qui n'a jamais été asservi ŕ ces puissances ! Il est venu pour nous rendre libre, Il l'a dit : Si je vous affranchis, vous serez réellement libres. Quelle joie de savoir qu'en Christ, nous recouvrons une liberté totale, entičre parce qu'Il est mort sur la Croix pour nos péchés.

Voudriez-vous que le Christ vous rende libre aujourd'hui ? Voudriez-vous qu'Il fasse de vous un homme nouveau, une femme nouvelle ? Quelque soit votre chaîne, il y a dans la Croix du Christ toute la puissance nécessaire pour faire de vous un homme, une femme libre, si seulement vous vouliez maintenant, venir au Christ. Je vous y invite.

Vous avez vu ce qui vous domine, vous le savez, vous venez au Christ avec cette chaîne qu'Il a déjŕ brisée et vous repartez libre. Vous venez au Christ dans la repentance et dans la confiance.

J'aimerais vous en donner l'occasion. Nous allons verser dans un moment de silence et dans ce moment, je vais dire une pričre que vous allez reprendre aprčs moi, phrase aprčs phrase. Mais vous la reprendrez silencieusement en vous.

Pričre :

Nous savons ce soir quelle chaîne nous tient, quelle habitude nous asservit. Ce soir, vous venez au Christ avec cette chaîne, avec cette habitude, avec cette passion. Vous venez dans la repentance et vous dites : " Seigneur Tu vois ma chaîne, Tu vois combien je voudrais en ętre dégagé, libéré mais je n'y arrive pas. Seigneur, ce soir j'ai compris que Tu es venu pour mes chaînes, mes habitudes, mes passions. Seigneur je viens ŕ Toi tel que je suis pour tout Te dire et surtout pour Te demander de briser ma chaîne. Je Te demande de me rendre libre. Je viens ŕ Toi dans la repentance et dans la foi. Je veux Te faire confiance Seigneur. J'ai entendu que sur la Croix Tu T'es employé ŕ briser toutes mes chaînes et toutes mes habitudes afin de me rendre libre ; je veux Te faire confiance. Reçois-moi, accueille-moi, sauve-moi. Viens vers moi maintenant. Aie pitié de moi, rencontre-moi je Te prie.

Seigneur, Tu viens d'entendre ceux qui T'ont adressé ces quelques mots, viens ŕ leur rencontre, brise leur chaîne, visite-les d'une maničre toute spéciale et qu'ŕ partir de ce soir, ils soient libres en Jésus-Christ et deviennent de nouvelles créatures en Lui.

Amen !

BÁŠ ¸Hi *s

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